Ah ! les femmes ...
- berflodel49
- 9 janv. 2021
- 2 min de lecture
Ah ! les femmes ...

Messieurs avez-vous comme moi remarqué que les femmes dans les métiers
S’arrangent pour qu’avec nous pauvres hommes tout finisse sur l’oreiller
Comment sans vergogne, sans état d’âme, sans retenue et sans complexe
Elles font tout pour arriver à trop fréquentes et fatigantes histoires de sexe
Par exemple, je me fis prendre par une motarde en un bel excès de vitesse
Je lui dis qu’il y avait urgence car quelqu’un avait besoin de mes caresses
Elle me mit une amende mais constatant la réalité de l’objet cause du délit
A la fin de son service elle me convoqua à la rejoindre au creux de son lit
Une fois l’uniforme ôté je faisais constat amiable qu’elle avait la peau lisse
Forte de son autorité elle m’ordonna d’entrer quelques temps dans la police
Je lui fis connaitre les montées d’adrénaline de la chevauchée fantastique
Sans qu’elle eut besoin de recourir à son habituel, rapide engin mécanique
Lors d’un autre jour je fis connaissance d’une charmante femme pompier
Qui me dit qu’en elle un feu couvait et qu’elle voulait que j’attise son foyer
Elle me demanda mon aide pour manoeuver, faire s'élever la grande échelle
Indispensable pour sa montée, ainsi à deux encordés, jusqu’au septième ciel
Je me rappelle également de cette troublante et très séduisante infirmière
Qui voulut me coucher pour des soins vraiment particuliers sur une civière
Elle me dit après l’amour dans un long soupir enthousiaste : c’est dingue !
Comme en bien peu d’utilisations je suis devenue si accro à votre seringue
Et cette cuisinière en chef pourtant très occupée à surveiller ses fourneaux
Pour approvisionner en mets recherchés des convives au sein d’un château
Alors que je livrais en ville et dans sa réserve elle me confia : ma parole !
Au vu de votre ingrédient je vais vous faire revenir et passer à la casserole
J’avais aussi retrouvé une ancienne copine toujours première de la classe
Qui était devenue après longues, brillantes années d’études pilote de chasse
Qui me proposa de la faire décoller sans attendre mon avis ni ma réaction
Arguant qu’elle avait experte habitude de tirer sur le manche de son avion
Par ailleurs, une poétesse qui souhaitait que nous écrivions à quatre mains
Même si je n’étais pas un poète elle me rétorqua que cela ne lui faisait rien
En peu de temps un texte prétexte fut fini, la page rapidement noircie pliée
Il me fallut concéder à faire tremper ma plume bien des fois dans l’encrier
Pour nous les hommes la vie n’est pas simple à cause de cette prédatrice
Qu’est la femme qui en matière d’amour se veut toujours la dominatrice
Cela se passe ainsi depuis la nuit des temps nous devons bien l’admettre
De père en fils, aux exigences de ces dames on est obligé de se soumettre
Cris Tolpac
FICTION ...FICTION ... FICTION
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