De lèvres en lèvres ...

De lèvres en lèvres … monte* la fièvre

( *ou plutôt descend )

Mes lèvres sur ses lèvres s’étaient déposées

Pour de tendres baisers qui se firent plus osés

Sa bouche s’ouvrit me prouvant à sa manière

Qu’elle était douée pour les langues étrangères

Nous nous embrassions sans répit et sans gène

De longs moments à en être à court d’oxygène

Or mes mains s’ennuyant dans leurs positions

Partirent à la découverte de deux jolis monts

Deux collines douces et chaudes aux extrémités

Semblant très sensibles à mes délicats touchés  

Si attirantes que ma bouche fiévreuse ne put

Qu’essayer de découvrir le goût de leur contenu

Je ne fais rien sans grande application ni en dilettante

Aussi ma partenaire se fit de plus en plus haletante

Je fis alors glisser une main vers un endroit particulier

Sentant en elle un plaisir intense se mettre à monter

Le reste je ne peux pas et c’est peut-être dommage

Vous le transcrire en prose, à suivre sur cette page

La patronne de la branche pourrait me débrancher

Car on ne saurait lire ce qui doit toujours rester caché

Cris Tolpac